Proposez une autre fin au texte. Poursuivez à partir de la réplique de Jeanne « Ils arrivent ».
Le texte prendra en compte les éléments précédemment lus
et le caractère des personnages.
Il apportera une fin au texte.
Comme tout texte théâtral, votre texte rapportera au
discours direct les paroles des personnages et proposera quelques indications
de mise en scène, courtes didascalies formulées au présent. Le tableau
ci-dessous vous permettra de vous auto évaluer. Point bonus en fonction de la
pertinence de votre évaluation.
Longueur
attendue : 25 à 30 lignes
Travail à réaliser à deux, chaque élève prenant en compte
le discours d’un ou deux personnages.
Didascalies, écrites au présent, la phrase est réduite à son minimum
Silence.
Entre Jeanne.
Discours direct, proche de l'oral.
JEANNE : Je viens d’appeler la police.
MAX : Quoi ?
JEANNE : Ils arrivent.
Silence.
MAX :
Fin
qui suscite l’intérêt du lecteur
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Le
texte a été pris en compte, situation, personnages
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Discours
direct, alternance des répliques
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Présence
de quelques didascalies, indications de mise en scène
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Respect
des normes : orthographe et syntaxe
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/ 2
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Texte écrit par
Baptiste et Enzo - 2 TOPO
Entre Jeanne
Jeanne: Je viens d'appeler la police.
Max: Quoi ?
Jeanne: Ils arrivent
Silence.
Max: Mais pourquoi tu les as appelés
?
Jeanne: Je ne veux plus voir cette
femme chez nous.
Max: Imagine qu'ils découvrent que
notre fils est mêlé à cette histoire de
couteau.
La femme écoute attentivement la
discussion.
Jeanne : Max, la police est là.
Max: Bon, soyons naturels.
La police frappe à la porte. Bruits
de coups rapides.
La police : Bonjour c'est la police,
on vient de nous appeler, une histoire de femme qui refuse de sortir…
Jeanne : Max, va ouvrir la
porte.
Max: Bonjour monsieur l'agent,
entrez, entrez, la femme est dans le couloir.
La police: Madame, vous devez nous
suivre au poste.
La femme: Bonjour Arthur, nous avons
notre suspect.
Le policier: Bien joué Annabelle.
Max et Jeanne se regardent d'un air inquiet.
Max: Mais arrêtez cette femme
messieurs.
Le policier: On vous arrête pour
avoir caché un acte grave. Vous avez couvert votre fils, on s’en doutait….Et
puis, pour votre gouverne, cette femme est inspecteur de police, elle
fait vraiment du bon travail.
Jeanne regarde le policier embarquer Max suivi par la femme.
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G. Guillaume - 2TOPO
Max: Annule l'appel, ce ne
sera pas nécessaire.
Jeanne: Mais...... mais...... pourquoi?....
Max: Je m'en occupe moi- même, tu vas voir, ça va faire mal.
Jeanne: Je veux bien qu’elle s'en aille, mais tu ne vas pas lui casser la gueule ? C'est trop tard de toute façon, la police est en route. Je ne veux pas qu'ils te mettent en prison, alors arrête!
Max: Ne t'occupe pas de ça Jeanne, ce ne sont pas tes affaires.
Jeanne: Si ! justement... Arrête !
Max s'avance dans le grand couloir jusqu'à la femme encore assise
La femme: Je peux vous aider ?
Max: Absolument ! C'est la dernière fois que je le dis, après je vous casse la gueule!
Jeanne au fond du couloir murmurant
Jeanne: Non!...non!...non! pas ça.
L a femme: Je
dois voir le principal et le plus rapidement possible.
Max lève la main pour frapper, le policier qui vient de pousser la porte , interrompt son geste.
Le policier 1: Monsieur je vous demanderais de baisser votre main.
Le policier 2: Où est la femme dont vous parliez madame ?
Jeanne: Elle est juste là, devant vous!
Le policier 1: Heu.... ici?!
Jeanne: Là ! Assise…
Le policier 2: Mais il n'y a absolument rien ici.
Max: De quoi? Cette femme, ici, sur le banc !
Le policier 1: Ben... on ne voit rien.
Max: Mais elle est juste là..... enfin….
La femme tourne la tête vers Max et Jeanne avec un grand sourire et disparaît…
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Jeanne: Mais...... mais...... pourquoi?....
Max: Je m'en occupe moi- même, tu vas voir, ça va faire mal.
Jeanne: Je veux bien qu’elle s'en aille, mais tu ne vas pas lui casser la gueule ? C'est trop tard de toute façon, la police est en route. Je ne veux pas qu'ils te mettent en prison, alors arrête!
Max: Ne t'occupe pas de ça Jeanne, ce ne sont pas tes affaires.
Jeanne: Si ! justement... Arrête !
Max s'avance dans le grand couloir jusqu'à la femme encore assise
La femme: Je peux vous aider ?
Max: Absolument ! C'est la dernière fois que je le dis, après je vous casse la gueule!
Jeanne au fond du couloir murmurant
Jeanne: Non!...non!...non! pas ça.
Max lève la main pour frapper, le policier qui vient de pousser la porte , interrompt son geste.
Le policier 1: Monsieur je vous demanderais de baisser votre main.
Le policier 2: Où est la femme dont vous parliez madame ?
Jeanne: Elle est juste là, devant vous!
Le policier 1: Heu.... ici?!
Jeanne: Là ! Assise…
Le policier 2: Mais il n'y a absolument rien ici.
Max: De quoi? Cette femme, ici, sur le banc !
Le policier 1: Ben... on ne voit rien.
Max: Mais elle est juste là..... enfin….
La femme tourne la tête vers Max et Jeanne avec un grand sourire et disparaît…
BERNARD Matthieu, SIMEON
Thomas - 2TOPO
MAX: Quoi? Ça ne se fait pas de traiter un parent d'élève comme ça.
JEANNE: Tu n'avais qu'à réagir plus tôt !
MAX: Non, je ne pouvais pas la recevoir avant.
JEANNE: Ça fait deux jours qu'elle attend dans le couloir !
MAX: J'avoue que cette femme a un comportement très bizarre, elle reste dans le noir, elle chuchote une langue bizarre que je ne connais pas. Tu as bien fait d'appeler la police...
Un temps
JEANNE: Attends, j'entends quelqu'un toquer à la porte. Ce doit être la police.
Il se dirige vers la porte d'un pas décidé.
MAX: Bonjour, nous avons un problème avec une femme. Elle nous dit qu'elle veut voir le principal du collège mais ce collège est fermé depuis deux ans.
LA POLICE: Qui est cette femme ? Où se trouve- t- elle ?
Coupure de courant pendant dix secondes
JEANNE: Heu ... La femme ... elle ... elle est derrière vous !
La police se retourne.
LA POLICE: Comment a-t-elle fait pour se trouver là ? C'est elle ?
MAX: Oui c'est elle !
LA POLICE: Madame, veuillez nous suivre s’il vous plait.
La femme, le regard vide.
LA FEMME: Désolé, je voulais juste voir le principal, mais puisque vous m'y obligez.
Elle sort un couteau et poignarde le principal avant de se donner la mort.